Vos portefeuilles en bref
Seagate Technology Holdings plc (NASDAQ : STX), un acteur majeur du stockage de données massives, a connu une année 2025 exceptionnelle, tant sur le plan financier que technologique. Avec l’essor de l’intelligence artificielle (IA) et la croissance exponentielle des besoins en stockage cloud, Seagate s’est positionné comme un leader incontournable dans ce domaine.
Fondée en 1979, Seagate est une entreprise mondiale spécialisée dans les solutions de stockage de données, notamment les disques durs (HDD) et les solutions cloud. Présente dans plus de 20 pays, elle emploie plus de 40 000 personnes à travers le monde.
Faits marquants en 2025
• Résultats financiers solides : Au troisième trimestre fiscal 2025, Seagate a enregistré un chiffre d’affaires de 2,16 milliards de dollars, en hausse de 31 % par rapport à l’année précédente. Le bénéfice par action ajusté (non-GAAP) s’élève à 1,90 $, dépassant les attentes des analystes.
• Croissance du segment de la capacité de masse : Les revenus provenant des solutions de stockage de capacité de masse ont atteint 1,7 milliard de dollars, soit une augmentation de 48 % sur un an.
• Innovation technologique avec HAMR : Seagate a lancé ses disques durs Mozaic 3+ utilisant la technologie d’enregistrement magnétique assisté par la chaleur (HAMR), offrant des capacités allant jusqu’à 36 To. Cette avancée positionne Seagate en tête de l’innovation dans le domaine du stockage.
• Prévisions optimistes : Pour le quatrième trimestre fiscal, Seagate prévoit un chiffre d’affaires compris entre 2,25 et 2,55 milliards de dollars et un BPA ajusté entre 2,20 $ et 2,60 $, reflétant une confiance continue dans la demande du marché.
Pourquoi est-ce une action à surveiller
L’adoption rapide de l’IA et la croissance des données générées nécessitent des solutions de stockage efficaces et à grande échelle. Selon une enquête de Recon Analytics, 61 % des entreprises prévoient que leur stockage nuage, soutenu par des disques durs, augmentera de plus de 100 % d’ici 2028. Seagate, avec sa technologie HAMR et ses solutions nuage comme Lyve Cloud, est bien positionnée pour répondre à cette demande croissante.
Ce que disent les analystes et les investisseurs
Les analystes de Wall Street maintiennent une recommandation « Achat modéré » pour l’action STX, avec un objectif de cours moyen de 116,21 $, certains allant jusqu’à 160 $. Cette confiance est renforcée par la capacité de Seagate à innover et à répondre aux besoins du marché en constante évolution.
Conclusion
Chez Pratte Gestion de portefeuilles, nous avons toujours privilégié les entreprises capables d’anticiper les grandes mutations technologiques. Seagate Technology illustre parfaitement cette approche.
En 2025, Seagate a démontré une capacité remarquable à aligner son innovation sur les besoins croissants du marché. Avec des revenus atteignant 2,16 milliards de dollars au troisième trimestre fiscal, en hausse de 31 % sur un an, et un bénéfice par action ajusté de 1,90 $, la société affiche une performance solide.
L’adoption accélérée de l’intelligence artificielle et la demande exponentielle en stockage nuage positionnent Seagate comme un acteur clé. Selon une étude commandée par l’entreprise, 61 % des entreprises prévoient que leur stockage nuage, soutenu par des disques durs, augmentera de plus de 100 % d’ici 2028.
Les analystes reconnaissent cette dynamique, avec un consensus de recommandation « Achat modéré » et des objectifs de cours atteignant jusqu’à 160 $.
En intégrant Seagate dans notre portefeuille, nous misons sur une entreprise qui allie innovation technologique, performance financière et vision stratégique. Nous sommes convaincus que Seagate continuera à jouer un rôle majeur dans l’ère numérique en pleine expansion.
De plus, le titre STX affiche une performance boursière impressionnante : une hausse de près de 30 % depuis le début de l’année et de 4 % sur la dernière semaine. Cette dynamique témoigne de la confiance du marché envers le positionnement stratégique de l’entreprise.
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Les marchés en bref
Lundi
• Dow Jones : [+0,11 %] (42 284,63 points)
• S&P 500 : [+0,09 %] (5 930,29 points)
• NASDAQ : [+0,65 %] (19 283,76 points)
• TSX (Toronto) : [-0,22 %] (25 674,32 points)
Sur le marché des devises, le dollar canadien s’est négocié au cours moyen de 71,68 cents US, en hausse par rapport à 71,65 cents US de vendredi.
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Wall Street termine en légère hausse malgré les inquiétudes budgétaires
Après un début de séance en repli causé par une mise en garde de Fitch sur le niveau d’endettement américain, les marchés boursiers ont légèrement rebondi lundi. La hausse des valeurs technologiques et des attentes concernant des baisses de taux d’intérêt a soutenu les indices, bien que les inquiétudes structurelles autour du déficit budgétaire et de la dette fédérale aient pesé sur le moral des investisseurs.
• Fitch Ratings : L’agence de notation a rappelé que le triple A des États-Unis reste sous perspective négative, en raison d’un déficit élevé et d’une dette publique croissante.
• Dette fédérale : Les États-Unis ont accumulé 1,2 billion $ US de déficit sur les sept premiers mois de l’année fiscale, soit 23 % de plus que l’an dernier.
• Perspectives de taux : Les investisseurs tablent toujours sur deux baisses de taux en 2025, malgré les signaux mixtes en provenance de la Réserve fédérale.
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Les titres en bref
Grands gagnants de la séance
• Meta Platforms (+1,48 %) : Rebond technique après trois séances consécutives de baisse.
• Alphabet (+0,75 %) : Soutenue par le regain d’intérêt pour l’intelligence artificielle et les plateformes publicitaires.
Grands perdants de la séance
• Boeing (-0,82 %) : Nouvelle correction après l’euphorie liée à la commande de Qatar Airways.
• Pfizer (-1,01 %) : Repli du secteur pharmaceutique dans un contexte d’arbitrage sectoriel.
Performance sectorielle
• Secteur en hausse : Technologies – Les géants technologiques comme Meta, Alphabet et Microsoft ont soutenu la progression du NASDAQ, grâce aux espoirs de baisse des taux et à la reprise des investissements en intelligence artificielle.
• Secteur en baisse : Santé – Le secteur de la santé a sous-performé lundi, affecté par les prises de bénéfices sur plusieurs titres défensifs alors que l’appétit pour le risque refaisait surface.
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Mardi
• Dow Jones : [-0,27 %] (42 677,24 points)
• S&P 500 : [-0,39 %] (5 940,46 points)
• NASDAQ : [-0,38 %] (19 142,71 points)
• TSX (Toronto) : [+0,32 %] (26 055,63 points)
Sur le marché des devises, le dollar canadien s’est négocié au cours moyen de 71,76 cents US, en hausse par rapport à 71,68 cents US de la veille.
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Le rallye s’essouffle sur fond d’incertitudes tarifaires et budgétaires
Wall Street a marqué une pause mardi, mettant fin à une série de six séances consécutives de gains pour le S&P 500. Les investisseurs ont pris leurs profits, particulièrement dans le secteur technologique, alors que l’enthousiasme suscité par l’allègement des droits de douane commence à se heurter au manque de clarté sur les négociations commerciales à venir. Par ailleurs, l’incertitude politique autour de la réforme fiscale proposée par le président Trump a alimenté le scepticisme.
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Les titres en bref
Grands gagnants de la séance
• Warby Parker (+15,63%) : Le lunetier a bondi grâce à l’annonce d’un partenariat stratégique avec Google pour développer des lunettes intelligentes.
• Tesla (+0,51 %) : Le titre a progressé après qu’Elon Musk a réaffirmé son engagement à rester à la tête de l’entreprise pour les cinq prochaines années.
Grands perdants de la séance
• Alphabet (-1,54 %) : Affectée par la rotation sectorielle, l’action du géant technologique a reculé, tout comme l’ensemble du secteur.
• Amazon (-1,01%), Apple (-0,92%), Nvidia (-0,88%), Meta (-0,52%), Microsoft (-0,15%) : Les « Sept Magnifiques » ont tous terminé dans le rouge.
• Home Depot (-0,57 %) : Le détaillant a déçu avec une baisse du bénéfice net malgré un chiffre d’affaires supérieur aux attentes. Les consommateurs ralentissent leurs projets de rénovation majeurs.
Performance sectorielle
• Secteur en hausse : Télécommunications et services aux collectivités (Canada) – Le TSX a profité de la vigueur de ces secteurs pour atteindre un nouveau sommet historique.
• Secteur en baisse : Technologies de l’information – Correction du secteur après son rallye des dernières semaines.
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Inflation au Canada
L’inflation annuelle au Canada a diminué à 1,7 % en avril 2025, contre 2,3 % en mars, principalement en raison de la suppression de la taxe carbone fédérale et de la baisse des prix de l’énergie. Cependant, les mesures d’inflation sous-jacentes, surveillées de près par la Banque du Canada, ont augmenté, compliquant les perspectives de politique monétaire.
Facteurs de la baisse de l’inflation globale
La suppression de la taxe carbone au 1er avril a entraîné une baisse significative des prix de l’énergie. Les prix de l’essence ont chuté de 18,1 % par rapport à l’année précédente, et ceux du gaz naturel ont diminué de 14,1 %. Cette réduction a contribué à la baisse de l’inflation globale.
Augmentation des mesures d’inflation sous-jacentes
Malgré la baisse de l’inflation globale, les mesures d’inflation sous-jacentes ont augmenté. Les indices CPI-médian et CPI-tronqué ont atteint respectivement 3,2 % et 3,1 %, les niveaux les plus élevés depuis mars 2024. Ces mesures excluent les éléments volatils et les effets ponctuels, telles que la suppression de la taxe carbone, et sont donc considérées comme des indicateurs plus fiables des tendances inflationnistes.
Implications pour la politique monétaire
La Banque du Canada fait face à un dilemme : d’une part, l’économie montre des signes de ralentissement, avec un taux de chômage en hausse à 6,9 % en avril, notamment dans le secteur manufacturier sensible au commerce. D’autre part, l’augmentation des mesures d’inflation sous-jacente suggère des pressions inflationnistes persistantes.
Les analystes sont partagés quant à la prochaine décision de la Banque du Canada, prévue le 4 juin. Certains estiment que la banque centrale pourrait maintenir son taux directeur à 2,75 %, tandis que d’autres anticipent une baisse si les données économiques continuent de se détériorer.
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Mercredi
• Dow Jones : [-1,91 %] (41 868,11 points)
• S&P 500 : [-1,61 %] (5 844,61 points)
• NASDAQ : [-1,41 %] (18 978,40 points)
• TSX (Toronto) : [-0,83 %] (25 839,17 points)
Sur le marché des devises, le dollar canadien s’est négocié au cours moyen de 72,21 cents US, en hausse par rapport à 71,76 cents US de la veille.
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Crainte sur le déficit et flambée des taux : Wall Street dévisse
La Bourse de New York a plongé mercredi, inquiète des conséquences budgétaires du mégaprojet fiscal de Donald Trump. Ce plan vise à prolonger les réductions d’impôts de son premier mandat, ce qui pourrait alourdir considérablement la dette fédérale. La forte remontée des taux obligataires à 10 ans, à 4,60 %, a accentué les pressions baissières.
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Les titres en bref
Grands gagnants de la séance
• Alphabet (+2,79 %) : Hausse après le lancement d’un nouveau moteur de recherche enrichi en IA, incluant de la publicité intégrée.
Grands perdants de la séance
• Target (-5,22%) : Le distributeur a raté les attentes du marché avec des résultats trimestriels décevants. Il a revu ses prévisions à la baisse et s’est dit préoccupé par l’impact des tarifs douaniers sur ses prix.
• UnitedHealth (-5,78%) : L’action de l’assureur a chuté après une révision à la baisse de sa recommandation par HSBC. Le titre continue de souffrir depuis plusieurs séances.
• Tesla (-2,68 %) : Le titre a terminé en forte baisse malgré des propos rassurants d’Elon Musk.
• Nvidia (-0,9 %), Apple, Meta, Microsoft, AMD : Les valeurs du secteur de la technologie ont chuté dans le sillage des taux obligataires en hausse.
Performance sectorielle
• Secteur en hausse : Or et métaux précieux – Montée des prix de l’or et du cuivre en tant que valeurs refuges.
• Secteur en baisse : Consommation discrétionnaire et santé – Affectés respectivement par les craintes tarifaires et la chute de UnitedHealth.
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Flambée des rendements obligataires et inquiétudes sur le déficit
Le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans a grimpé à 4,59 % mercredi, atteignant son plus haut niveau depuis février, tandis que le rendement à 30 ans a dépassé les 5 %, un sommet depuis 2023. Cette hausse a été alimentée par une combinaison de facteurs : une demande décevante lors de l’adjudication de titres à 20 ans, des inquiétudes croissantes concernant le déficit budgétaire américain et les implications du nouveau projet de loi fiscale du président Trump.
Une adjudication décevante qui secoue les marchés
L’adjudication de 16 milliards de dollars de bons du Trésor à 20 ans a suscité une demande inférieure aux attentes, entraînant une hausse des rendements. Ce résultat a renforcé les craintes des investisseurs quant à la capacité du gouvernement à financer son déficit croissant sans provoquer une augmentation significative des coûts.
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Jeudi
• Dow Jones : [-0,00 %] (41 859,09 points)
• S&P 500 : [-0,04 %] (5 842,01 points)
• NASDAQ : [+0,28 %] (18 925,73 points)
• TSX (Toronto) : [+0,06 %] (25 854,01 points)
Sur le marché des devises, le dollar canadien s’est négocié au cours moyen de 72,10 cents US, en baisse par rapport à 72,21 cents US de la veille.
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Trump avance son plan budgétaire, les taux bondissent
Les marchés ont évolué prudemment jeudi alors que la Chambre des représentants a adopté le projet de loi budgétaire de Donald Trump. Cette initiative prévoit des baisses d’impôt et une hausse des dépenses militaires, avec un coût estimé entre 2000 et 4000 milliards $ sur 10 ans. Les rendements obligataires ont initialement bondi avant de se détendre en fin de séance. L’impact sur le déficit fédéral inquiète les investisseurs alors que les taux longs continuent de peser sur les marchés.
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Les titres en bref
Grands gagnants de la séance
• Urban Outfitters (+22,84 %) : A dépassé les attentes avec un bénéfice de 1,16 $ par action (consensus : 0,84 $) et un chiffre d’affaires supérieur aux prévisions.
• Hinge Health (+17,37%) : Forte première journée en Bourse pour cette société de soins numériques, qui a levé 273 M$ lors de son IPO.
• Advance Auto Parts (+32,00%) : Résultats bien meilleurs qu’anticipés avec une perte plus faible que prévu et des revenus en hausse.
• Nike (+2,23 %) : Le titre a rebondi après que CNBC a rapporté le retour des produits Nike sur Amazon, une première depuis 2019.
Grands perdants de la séance
• Sunrun (-38,00 %) : Effondrement du titre face aux craintes que la nouvelle loi fiscale ne supprime les crédits d’impôt solaires.
• Marvell Technology (-4,50%) : Déclassée par Melius, qui juge son activité dans les technologies optiques de moins en moins pertinentes.
• ETF ITB Home Construction (-6,60 % sur la semaine) : Quatrième jour de repli consécutif, plombé par la hausse des taux et le recul des ventes de maisons.
• Campbell Soup, General Mills, Kraft Heinz (nouveaux creux annuels) : Les géants de l’alimentation poursuivent leur repli, touchés par l’érosion des marges et la faiblesse de la consommation.
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Performance sectorielle
• Secteur en hausse : Consommation discrétionnaire
Porté par Urban Outfitters, Advance Auto Parts et Nike, ce secteur bénéficie de bons résultats et d’une résilience inattendue de la demande.
• Secteur en baisse : Énergies renouvelables
L’Invesco Solar ETF (TAN) a chuté de 8 %, sa pire séance depuis novembre 2024. Les craintes d’un retrait des subventions fédérales pèsent lourdement.
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Vendredi
• Dow Jones : [-0,93 %] (41 471,72 points)
• S&P 500 : [-0,96 %] (5 785,95 points)
• NASDAQ : [-1,32 %] (18 676,37 points)
• TSX (Toronto) : [-0,39 %] (25 752,37 points)
Sur le marché des devises, le dollar canadien s’est négocié au cours moyen de 71,98 cents US, en baisse par rapport à 72,10 cents US de la veille.
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Trump relance la guerre commerciale, les marchés chutent
La Bourse de New York a entamé la séance en forte baisse vendredi après l’annonce surprise de nouvelles mesures protectionnistes par le président Donald Trump. Ce dernier a annoncé des tarifs de 25 % sur les iPhones fabriqués à l’étranger et vendus aux États-Unis, visant directement Apple, et a recommandé une taxe douanière de 50 % sur les importations en provenance de l’Union européenne à compter du 1er juin.
• Apple (-2,75 %) : Ciblée par Trump, l’action a reculé après l’annonce d’un tarif de 25 % sur les iPhones produits hors des États-Unis.
• Technologie sous pression : Qualcomm (-3,3 %), Micron (-2,5 %), Nvidia (-1 %) ont chuté, les valeurs technologiques étant très sensibles aux tensions commerciales.
• Europe impactée : Les valeurs bancaires et du luxe européen ont été également affectés par les menaces tarifaires.
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Conclusion
Les marchés nord-américains terminent la semaine en net repli, inversant leur dynamique récente alors que les tensions commerciales ont refait surface de manière brutale. Après plusieurs semaines portées par l’espoir d’un apaisement tarifaire, la résurgence d’une guerre commerciale initiée par Donald Trump a jeté un froid sur les marchés.
Le président américain a ravivé les inquiétudes des investisseurs en ciblant directement Apple avec une taxe de 25 % sur les iPhones fabriqués à l’étranger, et en annonçant une proposition de tarif de 50 % sur les importations européennes. Ces mesures, perçues comme une escalade imprévisible du conflit commercial, ont provoqué une vente massive sur les titres technologiques et les valeurs exposées à l’international.
Le Dow Jones, le S&P 500 et le NASDAQ ont tous reculé de plus de 2 % sur la semaine, mettant fin à leur série de gains. À Toronto, le TSX a également souffert, pénalisé par un recul des matières premières et une volatilité accrue sur les marchés mondiaux.
Seul point positif notable : le secteur de l’énergie nucléaire a bénéficié d’une impulsion politique favorable, profitant d’une annonce de soutien imminent par l’administration Trump. Des valeurs comme NuScale, Oklo et Cameco ont affiché des performances remarquables, contrastant avec la morosité ambiante.
En somme, la semaine a marqué un brusque retournement de sentiment, rappelant aux investisseurs la fragilité de l’équilibre géopolitique et son influence directe sur les marchés. Les prochains jours seront cruciaux pour déterminer si cette escalade tarifaire se confirme ou si un retour à la table des négociations est encore envisageable.
